L'idée de la construction de Proteopolis a germé un mois après mon retour d'un voyage à New York. Un voyage entamé le ...11 septembre 2005!
J’ai alors réalisé que mon séjour avait été incomplet, puisque si j’avais débarqué quatre ans plus tôt, j’aurais eu la chance de me hisser sur le toit des deux plus grandes tours du monde à l’époque. Certes, «contre le passé, il n’y a rien à faire », disait Daniel Balavoine, mais à ma façon je voulais ressusciter ce symbole de beauté, de puissance et de génie humain. Un symbole anéanti et qui désormais revêt une dimension tragique.